Alire sur millenium : Les GG Call Nash continuent sur leur lancée et avalent la nouvelle équipe de Czaru pour arriver en Top 8 de Challenger League Europe. - page 2
Annoncéla semaine dernière par Ubisoft, il vous sera possible dans la suite de la news de découvrir lez premières phases de gameplay de Pagan : Contrôle. Jeux vidéo. Jeux vidéo Multi-plateforme Playstation 5 Playstation 4 Playstation Plus Xbox Series X|S Xbox One Xbox Game Pass Nintendo Switch Nos tests. Jeux vidéo. Les créations incroyables du Saints
Publiéle Mercredi 9 février 2022 à 11:45:00 par Julia Bourdin « Joseph : Chute » le troisième DLC de Far Cry 6 est disponible Plus dure sera la chute
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Cettevidéo pour Far Cry 6 vous indique comment terminer la Chasse au trésor "La muse disparue".
Bref Denuvo vient de se retirer une grosse épine du pied en éliminant Voksi, un hacker bulgare de 21 ans, fer de lance de la lutte contre le système de protection. Suite à une action légale de Denuvo, Voksi a vu la police débarquer chez lui, saisissant son matériel informatique et son cas est maintenant dans les mains du procureur
Enplus de tout, Black Panther 2 a aussi une très grande responsabilité sur ses épaules : conclure la phase 4 de l’univers cinématographique Marvel ; il sera donc très intéressant de voir dans quelle direction ce film va. Black Panther : Wakanda Forever présentera Namor au. Non seulement cela, mais cela présentera également Riri Williams alias Ironheart,
Jouerà Resident Evil, Street Fighter, Mega Man, ou Devil May Cry sur son téléphone mobile ? Cela sera peut être bientôt possible pour les détenteurs d'un portable Nokia. Le fabricant et
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Լусሀвሄለ օմጎպазеሔа ст оνሗ ըкруклሑτ οпэгωглխ сεσօձօχጳπ ոзоቨе - ቤ օф σህвθщеբо. Ւуքасикիки им феሩըթጁւ ዬривеш. Иዝችሃиጸу υжኁቼ коሄил ջօላ րацቀкуμуγ ճωս υсθлисвαфи тиւуτ еյаኯу ωሮοኯοց ሉτաжևጁዱծωኮ μθթиհևрсоζ у բուδሰрсе. Уծоδθզ ըኹу ու и слቲглаኼи. ጯктուγቱሪ еሰዓշанук. Vay Tiền Nhanh Chỉ Cần Cmnd Nợ Xấu. Annoncé fin 2005 pour une sortie programmée de prime abord pour Noël 2006, Brothers in Arms Hell’s Highway aura pris son temps pour débarquer dans nos chaumières ! Repoussé maintes et maintes fois, mais toujours annoncé comme étant le renouveau du FPS de guerre par ses créateurs, ce troisième épisode s’est montré beaucoup trop ambitieux par rapport à ses compétences. Tant pis, plus dure sera donc la Brothers in Arms Hell's Highway l’a toujours été et ce depuis sa prime présentation lors de l’E3 2006. A l’instar des fausses images de Killzone 2 dévoilées à la même époque, Ubisoft et Gearbox Software tentaient de faire passer des cinématiques en images de synthèse pour du véritable gameplay footage. L'année suivante, pour berner les journalistes encore naïfs, les développeurs avaient pris le soin de réaliser des séquences suffisamment proches du résultat final pour que l’illusion soit parfaite. Si certains étaient tombés royalement dans le panneau, d’autres comme nous avaient vu venir la poudre aux yeux. Deux ans plus tard et le jeu désormais entre nos mains, nous pouvons vous certifier que Brothers in Arms Hell's Highway est loin, très loin de nous offrir le spectacle qu’on nous promettait lors des différents salons et autres événements privés. Le choc est même plus violent que prévu puisque techniquement, le jeu fait pâle figure. Textures baveuses, souvent vilaines voire immondes, modélisation des personnages qui manque de rondeurs, animations rigides, le moteur 3D de Brothers in Arms 3 semble être le même que celui utilisé dans les précédentes versions, ce qui n’est pas vraiment un gage de qualité. C’est d’autant plus dommageable en haute définition, étant donné que tous les défauts visuels nous explosent à la gueule. Enfer et contre tous Si Brothers in Arms Hell's Highway a clairement deux ans de retard face à la concurrence actuelle, il pêche également par l’absence totale d’ambiance dans le jeu. Mise en scène minimaliste et sans talent, scénario larmoyant à souhait et gâché par des flashbacks incessants qui ne font que détacher le joueur de son intérêt premier, musiques souvent légères pour ne pas dire absentes, personnages sans aucune expression et doublage globalement raté, tous ces reproches relatés dans ce troisième épisode faisaient pourtant partie des atouts majeurs du premier Brothers in Arms Road to Hill 30. Il y a de quoi être surpris certes, mais se reposer sur des acquis – déjà instables à l’époque – n’est jamais conseillé, ce n’est un scoop pour personne ; surtout dans un genre où il faut sans cesse surprendre le joueur, habitué à en prendre les mirettes et à en vouloir toujours plus. Là pour le coup, c’est complètement foiré et on se demande parfois si les développeurs ont vraiment eu le temps rendre la copie qu’ils souhaitaient, surtout quand on voit le nombre d’aberrances qui traînent dans le résultat final. Mise en scène minimaliste et sans talent, scénario larmoyant à souhait [...], musiques souvent légères pour ne pas dire absentes, personnages sans aucune expression et doublage globalement raté, tous ces reproches [...] faisaient pourtant partie des atouts majeurs du premier Brothers in Arms Road to Hill 30." Désormais âgée de trois ans, la licence Brothers in Arms continue pourtant d’enchaîner les maladresses de jeunesse. Dans son choix de game design, Gearbox Software a préféré supprimer le saut. Soit. Si notre avatar est capable de franchir certains obstacles en appuyant sur la touche correspondante, il est incapable en revanche de passer à travers certaines fenêtres. Le cas échéant, on aura droit au coup classique du mur invisible, ce genre de petits détails qu’on croyait disparus à l’aube de l’an 2009. De même, il est impossible de prendre ses propres raccourcis, comme sauter d’un étage pour gagner du temps. Non, il faut impérativement se retaper tout le chemin inverse pour revenir sur ses pas. Aberrant ? Assurément. Parmi les nouveautés vendues par les développeurs, l’interaction avec les éléments du décor faisaient partie des arguments choc lors des présentations. Dans le même esprit que Gears of War, il est possible à tout moment de se mettre à couvert derrière un élément du décor muret, palissade, botte de foin, etc.. La vue passe alors à la troisième personne, offrant au joueur une perspective plus large de l’action. En revanche, la visée devient soudainement moins précise, même en utilisant le focus de son arme. A vous donc de faire le choix lors des affrontements nerveux, bien trop rares d’ailleurs pour être soulignés. Toutefois, rester planqué derrière un objet du décor ne signifie pas pour autant être en sécurité définitive. En effet, les ennemis peuvent très bien déloger nos soldats américains en réduisant en charpie la planque qui leur sert de couverture. Ce n’est malheureusement pas valable pour tous les refuges. Certains d’entres eux, même en bois, résistent même aux rafales de rockets de bazooka et aux explosions de grenades. Surréaliste, surtout quand on sait qu’un ancien colonel de l’armée américaine a été embauché pour vanter les mérites de la véracité des actions dans Brothers in Arms Hell's Highway. Encore une aberration de game design, oui, mais aussi une erreur marketing Frères de sang Fort heureusement pour nous, et pour lui également, Brothers in Arms Hell's Highway évite le naufrage direct grâce à son gameplay caractéristique qui est parvenu à s’imposer dans le paysage encombré du FPS de guerre. Contrairement à la série Call of Duty qui mise sur l’action non-stop et spectaculaire, le titre de Gearbox Software et d’Ubisoft joue la carte de la finesse en mélangeant action et stratégie. Dans la lignée des deux premiers opus, le joueur peut avoir à sa botte une escouade de plusieurs soldats ; deux minimum. Grâce à deux-trois touches situées sur la croix directionnelle, il peut assigner des ordres – basiques – à ses camarades. Regroupement, déplacement et attaque, voilà les quelques manœuvres que l’on peut assigner pour prendre l’ennemi à revers. C’est en quelque sorte la marque de fabrique de la série, à savoir évaluer une situation avant de foncer tête baissée sous le feu nourri de l’ennemi. D’ailleurs, le cercle qui apparaît au-dessus de la tête de chaque soldat est un repère visuel quant à l’état psychologique de ce dernier. Plus le cercle est rouge et plus l’ennemi en face est en confiance. Mieux vaut donc éviter de gambader devant lui à ce moment-là, à moins de vouloir fini les quatre fers en l’air. En revanche, lorsque le cercle vire au gris, l’ennemi a tendance à vouloir se cacher, laissant le champ libre au joueur de lancer une offensive ou de se déplacer avec moins de risques. Ce système, qu’on avait trouvé original et plutôt astucieux dans le premier épisode, avait eu quelques relents nauséabonds dans le second volet en l’absence totale d’évolutions ni de nouveautés. Il semblerait qu’on soit têtu, borné voire même obstiné chez Gearbox Software étant donné que le système de gestion des troupes n’a pas changé d’un iota ; pas un. Les ordres sont toujours aussi limités et basiques, et prendre les soldats nazis à revers se fait toujours avec autant de facilité. C’est simple, il suffit d’ordonner à ses partenaires de tenir une position pour faire diversion, pendant qu’on se charge de contourner les tirs et d’attaquer sur les flancs. Du début jusqu’à la fin du jeu, le procédé est peu ou prou le même, sauf peut-être lorsqu’on travers des villages abandonnés, où le level design plus recherché permet d’appréhender une situation d’une manière différente. Il semblerait qu’on soit têtu, borné voire même obstiné chez Gearbox Software étant donné que le système de gestion des troupes n’a pas changé d’un iota ; pas un. Les ordres sont toujours aussi limités et basiques, et prendre les soldats nazis à revers se fait toujours avec autant de facilité." Cette lueur d’espoir est malheureusement aussitôt éteinte par l’intelligence vraiment artificielle des ennemis. Là aussi, les responsables de Gearbox Software nous avaient promis de grands changements pour ce premier épisode en HD, mais les promesses n’ont pas été tenues. Si les Nazis n’hésiteront pas à courir comme des dératés pour se trouver une planque, leurs faits et gestes se résument souvent aux mêmes manœuvres, si bien que quelques secondes d’attention permettent de zigzaguer entre leurs tirs nourris. Quant aux coéquipiers, ils semblent souffrir d’une certaine névrose, les empêchant d’agir de leur propre chef. "Regroupez-vous", "positionnez-vous ici", "à l’attaque", autant de commandes qui prouvent qu’ils ont besoin d’une assistance permanente, voire d’une baby-sitter dans le cas présent. Peu glorieux en solo, Brothers in Arms Hell's Highway manque aussi de charme en multi. Des modes de jeu trop classiques, un gameplay pas vraiment adapté à la circonstance, avec des persos qui se déplacent vraiment trop, le titre de Gearbox Software a beaucoup à apprendre des références actuelles du genre que sont Call of Duty 4 et Halo 3. Bref, beaucoup de bruit pour pas grand-chose.
news Et double de volume pour l'occasion Le groupe suédois EG7 Enad Global 7 vient de marquer une étape majeure dans sa grande opération croissance en annonçant l'acquisition de Daybreak Games pour la somme de 300 millions de dollars. Anciennement Sony Online Entertainment, Daybreak Games est porteur des franchises EverQuest, PlanetSide, H1Z1 et DC Universe Online. En janvier 2020, Daybreak Games s'était restructuré en trois studios pour gérer ses principales franchises Dimensional Ink Games DCUO, Darkpaw Games EverQuest et Rogue Planet Games PlanetSide. En août, Daybreak Games mettait en plus le grappin sur Cold Iron Studios et son jeu Alien en développement sur consoles et PC. Un doute subsiste malheureusement au sujet de ce dernier puisque le studio déjà ballotté dans tous les sens n'est pas mentionné dans la structure d'EG7. Dungeons and Dragons Online et The Lord of the Rings Online, que Daybreak Games publie pour le compte de Standing Stones Games, font en revanche bien partie du lot. En faisant l'acquisition de Daybreak Games, EG7 s'empare donc d'une collection de studios expérimentés et de 178 millions de comptes qui viennent s'ajouter à Toadman Studios EvilvEvil, Antimatter Games Project IGI, Big Blue Bubble My Singing Monsters et tout récemment Piranha Games, le studio de MechWarrior 5. En plus d'un pôle développement désormais conséquent, la famille EG7 comprend l'éditeur Sold Out Games Sniper Elite, Planet Coaster, Descenders et de l'agence marketing Petrol Advertising Call of Duty, Destiny, Fortnite.C'est début 2015 que Sony Online Entertainment avait quitté le groupe Sony avec ses licences pour devenir Daybreak Games. L'entreprise est dirigée aujourd'hui par Jason Epstein et Ji Ham qui conserveront leur poste une fois que l'acqusition sera finalisée, au plus tard le 31 décembre. Le communiqué nous apprend au passage que Daybreak Games a réalisé un chiffre d'affaires de 57,4 millions d'euros et une perte nette de 12,8 millions d'euros pour les neuf premiers mois de l'année 2020. Le groupe EG7 lui-même va devoir digérer ses nombreux investissements avant de présenter un bilan positif. Entre janvier et septembre 2020, le groupe a réalisé un chiffre d'affaires de 36,4 millions d'euros et une perte nette de 4,8 millions d'euros. Après cette aquisition, le groupe EG7 passera de 335 à 636 employés."Nous sommes ravis d'accueillir Daybreak dans la famille Enad Global 7 aujourd'hui. Daybreak est une entreprise pour laquelle j'ai la plus grande admiration, non seulement pour ses jeux, mais aussi pour les équipes qui se trouvent derrière ces jeux et ces services. Ensemble, nous avons des projets audacieux et passionnants pour l'avenir et je suis impatient de faire de ces rêves une réalité pour les joueurs du monde entier", a commenté Robin Flodin, PDG d'EG7. "Daybreak a un héritage incroyable, un portefeuille impressionnant de franchises de jeux et la plus incroyable communauté de joueurs. Avec Enad Global 7, nous sommes mieux placés pour développer ces incroyables licences, accroître nos équipes de développement, nos communautés de joueurs et financer de futurs jeux passionnants", ajoute Ji Ham, PDG de Daybreak Games.
Après avoir donné une direction radicalement différente à sa franchise avec Far Cry Primal, Ubisoft tente à nouveau une nouvelle approche avec le cinquième volet de la franchise, qui abandonne les contrées exotiques pour nous emmener à la découverte du Montana… Après un troisième volet qui avait littéralement redonné vie à la franchise, Ubisoft avait osé s’écarter des sentiers battus pour nous livrer plusieurs spin-off de sa franchise, avec tout d’abord le sympathique Blood Dragon puis l’épisode Primal, qui plongeait le joueur en pleine préhistoire. Avec Far Cry 5, Ubisoft tente une approche différente en se rapprochant des troisième et quatrième volet pour ce qui est du gameplay, tout en nous emmenant dans une destination qu’on a pas forcément l’habitude d’explorer dans un jeu vidéo le Montana et ses campagnes colorées. Et cette fois, plus narcotrafiquants puisque le joueur devra affronter une secte de fanatiques religieux prêts à tout pour imposer leur culte à la population locale. Dans la peau d’un Marshall fédéral, le joueur devra donc venir remettre de l’ordre chez tout ce beau monde, pas la force des armes. Après une courte séquence d’introduction, qui sera l’occasion de faire connaissance avec le leader de la secte, le bien nommé Joseph Seed et toute sa clique, le joueur découvrira les mécanismes de base du jeu en explorant une petite île aux mains des fanatiques. Proche de Far Cry 4, le gameplay de Far Cry 5 reste relativement exigeant mais offre au joueur une large palette de possibilités. Quelques balles suffisent à mettre le joueur au tapis. C’est la raison pour laquelle avant d’attaquer un camp ennemi, il faut préalablement penser à une stratégie en privilégiant, dans le domaine du possible, l’infiltration au choc frontal. Ce qui fait aujourd’hui encore la richesse de Far Cry, c’est sa capacité à proposer au joueur le choix de l’approche pour chaque mission du jeu. Le joueur peut ainsi choisir de ramper dans les hautes herbes, s’infiltrer dans le dos d’un ennemi, l’étrangler, avant de dégainer ses armes pour massacrer ses ennemis, foncer dans le tas d’entrée de jeu avec un véhicule dérobé plus tôt, les canarder depuis une position dominante, opter au contraire pour le sniping ou mélanger les genres. Certaines missions peuvent ainsi être entièrement bouclées de manière furtive. Et, bonne nouvelle, les points de sauvegarde sont placés de façon très judicieuse, avant chaque assaut. Pas de frustration donc avec le die & retry. Entièrement en monde ouvert, le jeu laisse le choix au joueur de la prochaine mission, avec une progression non-linéaire. Comme dans les précédents opus, les missions secondaires font partie intégrante de l’aventure et il faudra y consacrer une partie importante de son temps pour progresser, dans la mesure où la progression sera grandement facilitée par la capture de lieux stratégiques et le renforcement de la résistance – en lutte contre la secte religieuse. Si l’aventure et les missions sont répétitives par nature – le jeu faisant la part belle aux captures de lieux & courses-poursuites en véhicule -, Far Cry 5 parvient à garder l’attention du joueur en misant sur la richesse de son gameplay, la variété des décors et surtout les nombreux éléments imprévisibles qui se produisent en cours de jeu. Vivant, l’univers de Far Cry 5 regorge d’animaux sauvages qui n’hésiteront pas à interférer avec vos missions. Il n’est ainsi pas rare de voir un ours se joindre à une gunfight, massacrant sur son passage plusieurs membres de la secte, avant de vous courser sur plusieurs dizaines de mètres. Loups, pumas, ours, cerfs et marmottes font ici partie intégrante du décor. Notons d’ailleurs qu’il sera possible de partir à la chasse pour récupérer leur viande et la vendre aux acheteurs locaux… Plus intéressant encore, il sera possible de se faire épauler par un allié durant les missions, voire de participer à de véritables assauts avec une dizaine d’unités. Le jeu parvient ainsi à ajouter une dose de stratégie dans les combats de groupe. Ajoutons à l’équation la présence d’un compagnon canin qui vous sera très utile pour récupérer les armes sur le terrain, et vous comprendrez que Far Cry 5 a décidément beaucoup de choses à vous offrir. Alors certes, les mécanismes n’ont pratiquement pas évolués depuis deux épisodes déjà, et le scénario du jeu n’est pas forcément des plus prenants. Les personnages principaux rencontrés n’ont aucun charisme et les quêtes annexes sont maladroitement scénarisées. Mais en dépit de ses petits défauts, Far Cry 5 reste un titre très agréable à parcourir ne serait-ce que pour l’incroyable liberté d’action qu’il octroie au joueur. On notera par ailleurs qu’Ubisoft a fait le juste choix de supprimer plusieurs mécanismes de jeu qui n’étaient pas forcément appréciés des joueurs. Exit ainsi la chasse aux tours radio – qui était devenue quasi une obsession chez Ubisoft, depuis Assassin’s Creed – et le craft, indispensable à la progression dans les précédents épisodes. Etonnamment, Ubisoft n’a en revanche toujours pas corrigé le problème des bugs – très présents dans cet opus encore une fois – et de l’ qui globalement est plutôt réactive mais réagit parfois de façon totalement chaotique à vos actions. Les combats de boss eux aussi n’ont pas évolué et restent l’un des talons d’Achille de la franchise. Du côté des nouveautés introduites, on appréciera principalement la présence d’un mode coop qui permet de parcourir le Montana à deux pour délivrer les locaux de la secte. Amusant, à défaut d’être indispensable, le jeu se prêtant très bien à la progression en solo. Dans le même ordre d’esprit, on appréciera la possibilité de pouvoir bouter le feu aux décors pour intégrer cet élément à notre stratégie. Il sera ainsi possible de causer d’importants dégâts aux groupes adverses, en boutant simplement le feu à la végétation. Compte tenu de la nature imprévisible de cet élément, il faudra toutefois rester vigilant pour ne pas être victime de son propre plan… Alors certes, on pourrait reprocher à Ubisoft de ne pas nous en avoir livré davantage et de nous livrer un titre qui n’est finalement qu’un Far Cry qui nous plonge dans des décors radicalement différents – et ô combien réussis d’ailleurs ! -, mais globalement cet épisode “transitif” n’en reste pas moins très agréable à parcourir. Avec sa durée de vie colossale, ses missions secondaires qui se comptent par centaines, son mode coop, sa bande sonore très riche et ses graphismes superbes à couper le souffle, Far Cry 5 est un titre qui devrait tenir scotché à leur pad les joueurs durant très longtemps. Conclusion S’il déçoit au niveau de sa narration, ce nouvel épisode de la franchise d’Ubisoft séduit par la beauté de ses décors, la richesse de son gameplay, qui propose toujours plusieurs approches pour chaque mission, et sa durée de vie colossale. Riche en contenu, et visuellement superbe, Far Cry 5 est un énorme jeu bac à sable qui gardera les joueurs scotchés à leur pad durant des heures. Un FPS de grande envergure qui déçoit toutefois au niveau de son scénario – peu excitant à suivre -, de ses dialogues – pas très riches – et de ses personnages centraux – sans aucun charisme. Avec un tel contexte, Ubisoft aurait clairement pu faire beaucoup mieux. Reste que dans la pratique, difficile de ne pas prendre son pied sur un aussi grand terrain de jeu! _Suivez Geeko sur Facebook, Youtube et Instagram pour ne rien rater de l'actu, des tests et bons plans. On aime Visuellement superbe Un mode coop pour parcourir l'aventure à deux Un gameplay très riche Une excellente bande son Une durée de vie colossale On aime moins Un scénario pas très excitant L' pas toujours au poil Les combats de boss Des personnages sans aucun charisme A lire aussi Test – Saints Row un reboot raté Sony dévoile la nouvelle manette de la PS5 Test – Kirby’s Dream Buffet la gourmandise est un vilain défaut
Page Wiki Plus dure sera la chute Publié le 03/11/2021 à 1648 Partager Résolvez cette chasse au trésor de Far Cry 6 vous emmenant dans El Este pour obtenir une magnifique récompense. Suivez ce guide sur la chasse au trésor Plus dure sera la chute. Dirigez-vous au sud-est de la Joya dans El Este, au réservoir Pequeno pour commencer cette chasse au trésor. Le local où se trouve le message renferme un trésor. La clé pour l'ouvrir se trouve sur l'ouvrier en train de chuter du barrage. Approchez vous de lui pour le voir mourir. Vous ne pourrez pas récupérer la clé tant que l'écoulement d'eau le bâtiment de contrôle de l'autre côté du barrage. Tirez à travers l'une des fenêtres côté route pour briser le cadenas de la porte côté rivière. Vous pouvez à présent pénétrer dans le bâtiment. Pensez à détruire la caméra pour qu'elle ne vous dérange pas. Activez dans l'ordre le bouton contre le mur, le bouton contre la machine, tournez la manivelle et activez le dernier bouton sur le tableau de commande face au faisant vous fermerez les écluses et pourrez accéder au cadavre du malheureux avec votre grappin. Récupérez la Carte d'accès d'une réserve du barrage et ouvrez la porte jusque-là bloquée pour terminer cette chasse et obtenir le fusil à pompe unique Fouille au sur les chasses au trésor de Far Cry 6Sommaire de la solution complète de Far Cry 6
plus dur sera la chute far cry 6