Fleurd'épine fleur de rose C'est un nom qui coûte cher, ohé Car il coûte {x3} La moitié de la valeur De cent écus. {x2} Tra la la la la la la la Tra la la la la la la la Tra la la la la la la la La la la la la la la la Qu'est-ce que c'est que cent écus Quand on a l'honneur perdu, ohé Car l'honneur Est privilège des fillettes De quinze ans Ne fait donc pas tant la fière L'on t'a vue DécouvrezFleur d'épine, fleur de rose de Les Routiers sur Amazon Music. Écoutez de la musique en streaming sans publicité ou achetez des CDs et MP3 maintenant sur Amazon.fr. Choisir vos préférences en matière de cookies. Nous utilisons des cookies et des outils similaires qui sont nécessaires pour vous permettre d'effectuer des achats, pour améliorer votre Fleurd'épine, fleur de rose. C'est non nom qui coûte cher (bis) Car il coûte, car il coûte. Car il coûte le double ou triple. De la valeur de cent écus. Tra la la la la la la. Tra la la la la la la. Ne fais donc pas tant la fière. On t'a vu hier soir (bis) Anthologiede la chanson française. La Tradition. ALBUM. Ma mère qui m'a nourrie. N'a jamais connu mon nom. ohé. Ma mère qui m'a nourrie. N'a jamais connu mon nom. ohé. On lachanson française d'autrefois, à l'ukulélé, le coin de la chanson retro avec toutes les partitions type song book, Retro ukulele gCea. Traditionnel: Guy Béart: Enlaceses bras nus de roses odorantes, Au beau temps des amours fleuris. Chère aux Muses comme à Cypris, La rose est le soin des poètes, La belle fleur de leurs chansons. La rose est douce à tous, douce aux mains indiscrètes. Qui, pour la dérober à ses vertes retraites, Bravent l’épine des buissons. Elle embaume qui la caresse. Listento Fleur d'épine, fleur de rose from Les Routiers's Nos chansons for free, and see the artwork, lyrics and similar artists. Listen to Fleur d'épine, fleur de rose from Les Routiers's Nos chansons for free, and see the artwork, lyrics and similar artists. Playing via Spotify Playing via YouTube. 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Autour de cette enfant l'herbe est splendide et semble Pleine de vrais rubis et de diamants fins ; Un jet de saphirs sort des bouches des dauphins. Elle se tient au bord de l'eau ; sa fleur l'occupe ;Sa basquine est en point de Gênes ; sur sa jupe Une arabesque, errant dans les plis du satin, Suit les mille détours d'un fil d'or florentin. La rose épanouie et toute grande ouverte, Sortant du frais bouton comme d'une urne verte, Charge la petitesse exquise de sa main ;Quand l'enfant, allongeant ses lèvres de carmin,Fronce, en la respirant, sa riante narine,La magnifique fleur, royale et purpurine,Cache plus qu'à demi ce visage charmantSi bien que l'oeil hésite, et qu'on ne sait commentDistinguer de la fleur ce bel enfant qui joue,Et si l'on voit la rose ou si l'on voit la yeux bleus sont plus beaux sous son pur sourcil elle tout est joie, enchantement, parfum ;Quel doux regard, l'azur ! et quel doux nom, Marie !Tout est rayon ; son oeil éclaire et son nom devant la vie et sous le firmament,Pauvre être ! elle se sent très grande vaguement ;Elle assiste au printemps, à la lumière, à l'ombre,Au grand soleil couchant horizontal et sombre,A la magnificence éclatante du soir,Aux ruisseaux murmurants qu'on entend sans les voir,Aux champs, à la nature éternelle et sereine,Avec la gravité d'une petite reine ;Elle n'a jamais vu l'homme que se courbant ;Un jour, elle sera duchesse de Brabant ;Elle gouvernera la Flandre ou la est l'infante, elle a cinq ans, elle les enfants des rois sont ainsi ; leurs fronts blancsPortent un cercle d'ombre, et leurs pas chancelantsSont des commencements de règne. Elle respireSa fleur en attendant qu'on lui cueille un empire ;Et son regard, déjà royal, dit C'est à sort d'elle un amour mêlé d'un vague quelqu'un, la voyant si tremblante et si frêle,Fût-ce pour la sauver, mettait la main sur elle,Avant qu'il eût pu faire un pas ou dire un mot, Il aurait sur le front l'ombre de l'échafaud. La douce enfant sourit, ne faisant autre chose Que de vivre et d'avoir dans la main une rose, Et d'être là devant le ciel, parmi les fleurs. Le jour s'éteint ; les nids chuchotent, querelleurs ; Les pourpres du couchant sont dans les branches d'arbre ; La rougeur monte au front des déesses de marbre Qui semblent palpiter sentant venir la nuit ; Et tout ce qui planait redescend ; plus de bruit, Plus de flamme ; le soir mystérieux recueille Le soleil sous la vague et l'oiseau sous la feuille. Pendant que l'enfant rit, cette fleur à la main, Dans le vaste palais catholique romain Dont chaque ogive semble au soleil une mitre, Quelqu'un de formidable est derrière la vitre ; On voit d'en bas une ombre, au fond d'une vapeur, De fenêtre en fenêtre errer, et l'on a peur ; Cette ombre au même endroit, comme en un cimetière, Parfois est immobile une journée entière ; C'est un être effrayant qui semble ne rien voir ; Il rôde d'une chambre à l'autre, pâle et noir ; Il colle aux vitraux blancs son front lugubre, et songe ; Spectre blême ! Son ombre aux feux du soir s'allonge ; Son pas funèbre est lent comme un glas de beffroi ; Et c'est la Mort, à moins que ce ne soit le Roi. [...] Cependant, sur le bord du bassin, en silence, L'infante tient toujours sa rose gravement, Et, doux ange aux yeux bleus, la baise par moment. Soudain un souffle d'air, une de ces haleines Que le soir frémissant jette à travers les plaines, Tumultueux zéphyr effleurant l'horizon, Trouble l'eau, fait frémir les joncs, met un frisson Dans les lointains massifs de myrte et d'asphodèle, Vient jusqu'au bel enfant tranquille, et, d'un coup d'aile,Rapide, et secouant même l'arbre voisin, Effeuille brusquement la fleur dans le bassin. Et l'infante n'a plus dans la main qu'une épine. Elle se penche, et voit sur l'eau cette ruine ; Elle ne comprend pas ; qu'est-ce donc ? Elle a peur ; Et la voilà qui cherche au ciel avec stupeur Cette brise qui n'a pas craint de lui déplaire. Que faire ? le bassin semble plein de colère ; Lui, si clair tout à l'heure, il est noir maintenant ; Il a des vagues ; c'est une mer bouillonnant ; Toute la pauvre rose est éparse sur l'onde ; Ses cent feuilles, que noie et roule l'eau profonde, Tournoyant, naufrageant, s'en vont de tous côtés Sur mille petits flots par la brise irrités ; On croit voir dans un gouffre une flotte qui sombre. " Madame, dit la duègne avec sa face d'ombre A la petite fille étonnée et rêvant, Tout sur terre appartient aux princes, hors le vent. Comme d'autres, suivez cette chanson Avec un compte scrobblez, trouvez et redécouvrez de la musique À votre connaissance, existe-t-il une vidéo pour ce titre sur YouTube ? Ajouter une vidéo À votre connaissance, existe-t-il une vidéo pour ce titre sur YouTube ? Ajouter une vidéo Titres similaires À propos de cet artiste Michèle Bernard 4 197 auditeurs Tags associés Formation au conservatoire d'Art dramatique de Lyon, suivi de plusieurs années de théâtre. TJA, Compagnie de la Satire, Compagnie Les Mulets A partir de 1975, Michèle Bernard choisit la chanson comme mode d’expression, d’abord comme interprète, puis comme auteur et compositeur. Femme aux multiples talents, elle compose aussi des musiques pour le cinéma "La Chanson du Mal Aimé" de Claude Weiss, la télévision "Soleil Noir", "Groupe octobre" de Michel Van Zele le théâtre "Jacquard ou la Chanson de la Soie" de Dominique Voisin, &quo… en lire plus Formation au conservatoire d'Art dramatique de Lyon, suivi de plusieurs années de théâtre. TJA, Compagnie de la Satire, Compagnie Les Mulets A partir de 1975, Michèle Bernard choi… en lire plus Formation au conservatoire d'Art dramatique de Lyon, suivi de plusieurs années de théâtre. TJA, Compagnie de la Satire, Compagnie Les Mulets A partir de 1975, Michèle Bernard choisit la chanson comme mode d’expression, d’abor… en lire plus Consulter le profil complet de l'artiste Artistes similaires Voir tous les artistes similaires Souvenez-vous que je vous aime autant qu'un homme le peut Mais elle aussi m'est indispensable Elle qui a cette beauté sauvage dont personne ne veut Qui a fait goûter la folie même aux plus grands sages Au départ je l'ai fuie Je n'ai pas directement compris son langage Je n'ai vu que les épines de la rose, pas les pétales ni les fruits Ils se dévoilent sans doute lorsque l'on prend de l'age Elle et moi, on ne fait rien de mal C'est étrange, je ne sais pas ce que les autres voient On parle de tout et de rien, ensemble on se trimballe J'avoue que ça me dérange lorsqu'elle me parle un p’tit peu trop de moi Ensemble on rit, on rêve A deux on cherche des yeux dans les étoiles ce que les cieux m'ont pris Rappelez-vous toujours à quel point je vous aime Mais sachez aussi que jusque là c'est elle qui m'a le mieux compris Elle me connaît depuis tout petit Elle a remplacé mon père Elle s'est souvent cachée sous le lit Elle est ma plus vieille compagne, le temps qui passe la cultive J'ai cru pouvoir faire ma vie sans elle mais j'étais stupide Observe bien au fond de mes yeux, elle s'est incrustée Approche, vois comme elle a sculptée son visage dans mes pupilles Ce sera bientôt l'heure d'y aller Ma tendre solitude me rappelle Je sens le parfum de ma fleur damnée C'est à nouveau l'heure d'y aller Ma solitude me rappelle Elle est ma tendre fleur damnée Elle me rappelle, j'y vais Au fond je l'aime peut-être un p'tit peu trop je pense Car dès qu'elle me réclame, je ne peux pas ne pas y aller Sur le champ je pars lui accorder une autre danse Et je sais que je ne serai jamais son unique cavalier Oui je l'accepte, je la laisse m'emporter Je sais à quel point notre amour est fragile Au départ je subissais, je ne pouvais pas la supporter Mais on s'aime passionnément depuis ce fameux jour où je l'ai choisie Elle me connaît depuis tout petit Elle a remplacé mon père Elle s'est souvent cachée sous le lit Ma solitude préfère que je parle peu Elle dit que pour les rêves le verbe est prédation Elle sait que le silence est le langage de Dieu Que tout le reste n'est que mauvaise interprétation Elle aime se faufiler dans mes entailles de regards Elle dit que j'ai le chant d'un animal blessé Elle sait que je ne me sens à ma place nulle part Que jusqu'ici elle seule a su m'apprivoiser Je vous aime autant qu'un homme le peut Mais dès qu'elle me réclame, ce n'est pas ma faute, je tremble Qu'importe le temps et qu'importe le lieu Sur le champ je pars lui accorder une autre danse J'y vais, j'y vais... Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique SEAM Mon amant me délaisse O gai ! vive la rose ! bis Je ne sais pas pourquoi Vive la rose et le lilas ! Je ne sais pas pourquoi Vive la rose et le lilas Il va-t-en voir une autre, La suite des paroles ci-dessous O gai ! vive la rose ! bis Qu'est plus riche que moi Vive la rose et le lilas ! Qu'est plus riche que moi Vive la rose et le lilas On dit qu'elle est plus belle , O gai vive la rose ! bis Je n'en disconviens pas ... La suite des paroles ci-dessous On dit qu'elle est malade O gai ! vive la rose ! Peut-être elle en mourra ... Mais si elle meurt dimanche O gai ! vive la rose ! Lundi on l'enterrera ... Mardi il r'viendra m'voir O gai ! vive la rose ! bis Mais je n'en voudrai pas Vive la rose et le lilas ! Mais je n'en voudrai pas Vive la rose et le lilas ! Les internautes qui ont aimé "Vive La Rose" aiment aussi

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